Daphné Appleby (U.C)

I. Etat Civil

(Nous sommes en 2050)

(Moldue , Sang Pur , Sang Mélé)

II. Déscription

Caractère : (8 lignes au minimum)
Nos cauchemars, c'est notre âme qui balaye devant sa porte. »
- Jacques Deval -
Daphné à première vue est une femme ouverte et généreuse, sympathique et drôle. A première vue : les premières impressions sont toujours les bonnes, vous dites ? C'est totalement faux. Parce qu'en fouillant au fond du coeur de Daphné Appleby, vous pouvez trouver toutes sortes de choses, de la plus plaisante à la plus effrayante, son destin par exemple, ou son passé. C'est tellement effrayant de lire dans le coeur de quelqu'un, de savoir ce qui va lui arriver sans qu'il en soit conscient et sans pouvoir le lui dire. Parce que c'est son destin, et personne ne peut échapper à la Fortune.
Personne, pas même Daphné Appleby. Cette jeune femme n'a pourtant jamais cherché ce qui va lui arriver et ce qu'elle a subi. Elle a toujours été une jeune femme rangée, sérieuse et minutieuse, sans problèmes, et sans les chercher. C'est une femme passionnée et amicale, généreuse et franche sans être blessante, de la crème humaine, comme on pourrait dire. Une vraie fée. Beaucoup de gens aiment Daphné mais beaucoup la détestent aussi.
Parce qu'elle n'a pas toujours été aussi clean qu'elle le montre. Au fond d'elle, elle sait qu'elle est différente de cette image proprette qui voile son visage. Au plus profond de son coeur, c'est une femme violente et sanguinaire, cruelle et sans pitié, mais il suffit simplement de tourner la clé dans le coffre pour que toutes ces armes sortent sans prévenir. Pour l'instant, personne ne l'a jamais fait. Personne n'y est parvenu. Ce moment viendra. Il viendra quand elle sera en mesure d'affronter son égal. A ce moment-là, tout surgira. Cruauté, violence, hypocrisie, méchanceté. Tout ce qu'elle renferme finira par exploser.
Daphné est du genre à aimer les nouvelles rencontres, surtout qu'elles sont souvent réussies, vu l'effet qu'elle a sur les gens. D'ailleurs, ce sera certainement une arme nécessaire dans son travail de professeur. Elle aime partager, partager sa nourriture ou ses biens, mais aussi ses émotions, ses sentiments ou ses connaissances. Elle est du genre fidèle et amoureuse transie, mais personne n'a éveillé ces émotions en elle pour l'instant. Elle se contente d'être Professeur Appleby, une baguette à la main, telle une sorcière modeste, alors qu'elle pourrait accomplir tellement de grandes choses. Parce que Daphné est modeste, elle déteste se mettre en avant et faire preuve de vanité. C'est la dernière chose qu'elle ferait.
Pour l'instant, personne n'a jamais pu voir l'égal de Daphné Appleby. Mais elle, au plus profond d'elle, elle sait qu'elle l'a rencontré. Elle le sait, elle sait qui est son égal, mais elle se refuse de se l'avouer. Parce qu'elle refuse de faire du mal aux gens, elle refuse d'admettre que cette personne suffirait pour ouvrir la Boîte de Pandore. Un simple tour de clé, dit-on. Juste un tour de clé. Parfois, on se croirait dans un roman de piraterie, quand on décrivait DaphnéAppleby.
Daphné sait choisir ses fréquentations sans le montrer. Sauf qu'elle a fait dans sa vie une seule erreur fatale, et cette erreur concerne ce point. Elle a été trop indulgente au niveau de ses fréquentations.
Souvenez-vous, personne n'échappe à son destin.

Physique : (6 lignes au minimum)
« Pour celui qui sait observer, chaque homme porte sur sa face la description de son corps et de son âme. »
- Alexis Carrel -
Daphné est une jeune femme dans la fleur de l'âge : une femme comme on n'en fait plus beaucoup, au physique sauvage et classieux à la fois, soignée, agréable. Quand on regarde Daphné Appleby, on pourrait la comparer à une panthère noire, ou à un chat gracieux. Elle a des mouvements harmonieux, stricts et doux à la fois, qui la rendent digne de confiance au premier regard, en général.
Daphné est grande, mince. Une femme élancée qui a longtemps pratiqué la gymnastique pour se mettre au Quidditch dès sa deuxième année. Elle n'a pas un gramme de trop, et des membres longs et fins. Une vraie sportive, avec les muscles apparents disgracieux en moins. Elle pourrait s'échapper avec fougue si vous l'encercliez, en un rien de temps, en une pirouette, et est très rapide pour éviter les sorts quand elle est éveillée. C'est une femme tout de même délicate et qui sait contrôler sa force, canaliser son énergie et se maîtriser complètement. Une main de fer dans un gant de velours, comme on dit souvent. Une rose noire aux épines acérées.
Daphné a un visage délicat, court et marqué, aux traits fins et gracieux. Ils sont en parfait accord avec son corps, et c'est ceci qui fait qu'une femme est belle : l'harmonie. Peu importe de son apparence faciale ou corporelle, l'important était qu'elle soit coordonnée. Elle peut avoir toutes sortes l'expressions sur son visage mais la plupart du temps, elle prend cette expression pâle, sérieuse et bienveillante à la fois, en souriant mais sans sourire vraiment, une vraie Mona Lisa, en gros.
Daphné a les yeux brun, d'une couleur noisette, qu'elle n'aime pas particulièrement, mais qui sont en parfait accord avec ses cheveux et son visage. Ils sont en amande, bien dessinés, un peu comme ceux d'une biche, délicats, qui expriment bien les expressions qu'elle pourrait prendre. Bordés de cils longs et recourbés, elle papillonne souvent des paupières pour faire rire les gens, mais n'utilise jamais de mascara : un simple trait de khôl, un coup de liner, peut-être parfois de l'ombre à paupières, du gloss transparent, mais c'est tout. Naturelle, toujours. Jamais vulgaire. Daphné a de longs cheveux brun foncé, lisses, un peu épais mais pas trop, qu'elle aime lâchés, mais elle apprécie aussi de tester des coiffures toutes différentes. Elle aime particulièrement le style sixties, avec l'épaisse frange sur le devant. Mais elle aime aussi les relever, bien qu'elle ne soit pas toujours tranquille avec quelque chose dans les cheveux. Daphné est une fille simple de style.
Daphné a un style vestimentaire des plus particuliers, surtout pour une sorcière. Elle s'habille sans cesse comme une Moldue. Toujours avec de la classe, toujours : en tailleur pour les grandes occasions, sinon avec un jean slim blanc et un pull classieux, ses escarpins assortis, et le tour est joué, un style simple et efficace. Daphné a toujours été une belle femme et même adolescente, elle a fait tourner beaucoup de têtes. Elle a eu beaucoup de garçons à ses pieds, mais aucun n'a su la satisfaire. Trouvera-t-elle l'élu de son coeur qui saura l'aimer comme elle est ?

Gouts : (8 lignes au minimum)
Si l'on s'étendait sur l'Art, Daphné pourrait parler pendant des heures. Peinture, Sculpture, Photographies, Expositions... Tout l'Art du monde lui plait et la sèduit. Musicalement, les consonnances étranges et frissonantes l'attirent, ainsi que les sons rock & pop. Cinématographiquement & Littérairement, ce sont les genres dramatiques & glauques qui la fascinent. Appeurée au moindre film d'horreur, elle ne peut s'empêcher d'en regarder un, emplie d'une euphorie attendrissante. Vestimentairement, les vêtements naturels l'embellissent. Souvent vêtue de tissus seyants, elle favorise les jeans simples ou les robes droites. Les couleurs sombres l'affinent mais elle porte aussi des tons pastels. Culinairement, c'est le riz cantonnais qui est son plat favori, ainsi que la salade et les lentilles. Pesque végétarienne - pas entièrement pour ne pas inquièter son père -, Daphné ne se nourrit pratiquement que de légumes et de soja. En boisson, c'est le café qu'elle prend tous les matins qui l'anime, ainsi que ses multiples tisanes au romarin ou au jasmin. Pour les journées chaudes, elle adorera un jus d'abricots bien frais.

Plus simplement, Daphné aime la simplicité. Un nuage en forme de bâteau, les fruits et surtout les cerises. Adorant les chiens, elle entretient un rapport privilégié avec eux, les attirants et les rendant naturellement doux. Jouant de maints instruments, Daphnéfavorise la guitare et le piano. Elle adore aussi parler en langue étrangère, dont le japonais, qui demeure sa langue de prédilection. Adorant la pluie et le froid, elle sortira souvent pour revenir trempée plusieurs heures plus tard.

Au niveau de ce qu'elle n'aime pas ,Daphné n'est pas complexe. Ouverte à tout ce qui s'offre à elle, d'une compréhension humaine et rassurante, le peu qu'elle n'apprécie guère reste très important à ses yeux et elle ne laissera pas passer ces actes s'il se placent devant ses pupilles chocolatées. L'homophobie, le racisme, l'inégalité ou une quelconque forme d'injustice la fait enrager et bouillir de l'intèrieur. Les critiques inappropriées lui déplaisent. Enfin, l'infidèlité est un des gestes qu'elle comprendra difficilement, bien qu'elle sera clémente sur ce point, sâchant pertinemment qu'elle pourrait y passer à son tour. En quelques mots, Daphné déteste la chaleur et préfère le froid, n'aime pas les gens fermés d'esprits et la nourriture gâchée.

III. Biographie
Présentation en Rp
On lui avait toujours dit que sa vie serait merveilleuse, que le monde n’était que beauté, mais était-ce pour lui donner un idéal ? Pour la laisser vivre dans une parfaite illusion ? Probablement que oui.

Une petite fille se tenait dans un coin sombre d’une grande bibliothèque, vêtue d’une robe blanche, elle tenait dans ses mains un livre ancien. Un livre qui n’aurait jamais du se trouver entre les mains d’une enfant. Un ouvrage de Magie, mais ses parents lui avait toujours dit que la Magie n’existait pas, alors pourquoi garder si précieusement un livre et beaucoup d’autres comme celui-ci dans cet endroit ? Pourquoi lui avoir cacher sa réelle identité ? Pour la protéger disaient-ils, pour la garder près d’eux. Telle la poupée de porcelaine qu’elle était.

Daphné, tel était le nom de cette petite fille aux cheveux ébène et aux yeux d’un bleu si profond que tous s’émerveillaient à leur vue… Une peau nacrée, d’une blancheur anormale, mais Daphné n’était qu’une enfant comme une autre, pour le moment. Mais rien ne serait plus pareil … Après… Après quoi ? Sa nouvelle vie…

Les Shakespeare était une grande famille, tous plus normaux les uns que les autres selon la petite fille… Mais qui étaient-il réellement et pourquoi tant de secrets ? Ces réunions dans la Salle de Réception… L’enfermement dans sa chambre de cet immense manoir, pourquoi donc ? Qu’avait-elle fait ? Une punition pour avoir essayer de comprendre… De savoir qui étaient Nuwan et Valentine, ses deux parents. Des êtres respectables, mais craints dans l’Autre Monde, celui qu’elle ne connaissait pas. Celui qui aurait du lui être cacher.

Une nourrice, Meredith, la gardait pendant la journée, ils lui disaient que leurs affaires étaient importantes, mais l'étaient-elle plus que leur petite fille ? Plus que de la voir grandir et s’épanouir ? Probablement que oui. Un chien lui fut acheter, Nexus, un berger allemand, un animal qu’elle garda longtemps… Celui qui devint son confident, une brave bête… Palier l’absence de ses parents, mais était-ce le meilleur moyen ? Peu importait, Daphné n’avait que cinq ans et pour le moment elle ne voulait que croire aux fées et aux licornes… Ces chevaux et ces petites créatures ailées qu’elle avait déjà croisé aux abords de la Foret, derrière la propriété… Daphné n’avait pas rêvé, oh non, mais pour Nuwan si… Pour le moment ce n’était que des rêves.

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Six ans s’étaient écoulés à présent… Six années qui avaient défilées plus vite qu’elle ne l’aurait pensé. Daphné avait bien grandit. La petite fille avait onze ans à présent, un âge important, un âge décisif pour tout ceux de l’Autre Monde. Mais Daphné n’en avait pas connaissance. Pourtant, combien de fois avait-elle demandé pou aller à l’école au lieu de suivre cet homme qui lui enseignait tout ? De trop, mais ses parents étaient restés sourds à ses demandes…

Des événements étranges s’étaient produits ses derniers temps et cela lorsque Candice était en colère, comme ce verre en cristal qui s’était brisé ou même le bonhomme de neige l’année dernière, pourquoi avait-il prit vie l’espace d’un instant ? Etait-ce encore une hallucination, un rêve ? Impossible. Daphné avait grandi, elle faisait la différence entre réel et imaginaire et pourtant… Elle ne savait plus. Quand à ses parents, ils avaient prit l’habitude d’esquisser un sourire à chaque action de ce genre. Pourtant ils restaient impassibles, mais n’étaient-ils pas des gens de l’Autre Monde ? Et puis ces livres trouvés dans la bibliothèque il y a plusieurs années, non ce n’était pas normal… Ce manoir abritait des personnes étranges… Mais Elle, non Candice n’était pas étranges comme ses parents… Pas encore, enfin elle ne le savait pas.

Le courrier, il était toujours arrivé par un hibou au plumage d’encre, nommé Shadow… Daphné n’y avait jamais rien trouvé d'inquiétant voir d’anormal là dedans. Mais un hibou n’est pas un animal qui vous donne vos lettres, mais n’ayant rien connu d’autre Candice avait cru que cela était de même pour tout le monde… Et pourtant, là encore n’était qu’un indice pour la mener vers l’Autre Monde…. Celui des Sorciers.

Peu de temps après son anniversaire, une curieuse lettre arriva au domaine pour mademoiselle Shakespeare. Une lettre mentionnant une école de Magie nommée Poudlard. Candice avait lu quelques brides de la lettre, mais trop peu car son père l’avait déjà jeté au feu. Il ne voulait pas disait-il, sa fille n’irait pas là bas.

¤ Daphné – Père cette lettre m’était adressée pourquoi ? Qu’ai-je fait pour la voir brûler ?

¤ Valentine ¤ - Ma fille, vous apprendrez que ce genre d’inepties n’a pas lieu dans cette maison.

Daphné s’était tue, le ton de son père imposait le silence…
Plus aucune parole ne fut prononcée…

Plus les jours passaient et plus les lettres affluaient… Mais aucune n’arriva en possession de la jeune fille. La lecture d’une telle missive n’était pas permise pour une enfant comme elle… Telles étaient les paroles de son père. De ce Sorcier qui tenait à garder sa fille auprès de lui, qu’elle apprenne la Magie ici et pas dans ce lieu maudit… Maudit selon lui…

¤ Valentine ¤ - Daphné, qu’est-ce que la Magie à vos yeux ?

Cette question Daphné s’en rappelait toujours, son père ne lui avait posé au cours d’un repas… Il aurait pu parler de la pluie et du beau temps, cela aurait été de même. Une discussion presque banale, mais le mot Magie avait étonné la jeune fille. Pourquoi une question pareille ?

¤ Daphné ¤ - La Magie n’est qu’illusion, je l’ai appris avec le temps père. Rien ne sert de croire à ce genre de chose…

¤ Valentine ¤ - Mais peut-être devriez-vous…

¤ Daphné ¤ - Mais vous aviez dit ?

¤ Valentine ¤ - Ai-je prononcé de telles paroles une seul fois Daphné? La Magie existe, il faut savoir la reconnaître.

Son père avait raison. Jamais il n’avait dit ceci, jamais il n’avait dénigré la Magie. Un regard empli d’espoir avait été adressé à son père, il allait accepté, cette lettre n’était pas une bêtise, un canular… Mais pourquoi l’avait-il brûler ? Les avait-il brûlé ?

¤ Daphné ¤ - Mais ces lettres et Poudlard, vais-je pouvoir y aller ? Apprendre la Magie, moi aussi ?

¤ Valentine ¤ - Poudlard. Un rire grave s’était échappé. Vous êtes encore jeune et humaine Daphné, vous comprendrez plus tard. Ma décision a changé. Vous irez.

Le bonheur fut tel que jamais elle n’en avait jamais ressenti…
S’était mieux que tout…
Une joie immense, apprendre la Magie, tout était réel… La vie prenait un autre sens, le rêve devenait réalité… Pour un instant. Daphné était trop jeune pour comprendre… Comprendre le véritable sens des paroles de son père… Savoir que l’humanité lui avait été enlevée à jamais…

Quand à Poudlard, cette école l’accueillit pour lui enseigner la Magie, ses bases et le monde qui entourait Daphné depuis si longtemps… Ce Monde qui avait réussit à se cacher aux yeux de tous. Mademoiselle Shakespeare avait été repartie à PoufSoufle… Mais ce passage ne fait plus partie de l’enfance voir même de la découverte…

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Poudlard, il est inutile de conter ce passage de sa vie, aucun événement ne fut assez marquant pour être relaté, si ce n’est la grande importance qu’eut la Magie Noire dans la vie de la jeune Daphné comment et pourquoi ? Faisons un simple voyage en arrière.

Privée d’un enseignement magique, la jeune Candice montrait quelques difficultés en sortilèges et autre matière qui demandait l’usage d’une baguette, c’est pourquoi elle avait de suite entreprit de peaufiner ses connaissances, d’en savoir plus que les autres pour ne pas paraître étrangère à ce nouveau monde… D’ailleurs bien vite elle avait fait croire à la pureté de son sang, simplement pour faire comme Eux, les Serpentards, pour se montrer digne de cette maison. Mais Daphné s’était bien vite passionnée pour la plus Sombre des Magies… Mais aussi la plus dangereuse. Mais les Arts Sombres sont comme une drogue. On lit les livres au début, juste pour voir pourquoi c’est interdit, puis on essaye un sortilège rien que pour voir… Essayer et l’engrange est déjà lancer… Vous perdez peu à peu pied… La Magie et sa puissance vous enivrent… Et Daphné sombra peu à peu, au fil des années, son caractère changea, sa façon d’être changea. Elle s’était renfermée sur elle-même, devenant une personne froide et distante, presque dangereuse pour les étudiants qui essayaient d’en savoir de trop…

Et la sortie de Poudlard fut le déclencheur de cet engrenage. Dapné fit des études pour devenir enseignante, sa première idée fut la Défense Contre les Forces du Mal, mais finalement se fut la botanique Pourquoi, tout simplement parce qu’elle connaissait ce monde, pour y avoir disons vécue… Mais tout s’arrêta brusquement…

Daphné avait rencontré un homme, une personne qui avait réussit à la fasciner… Une créature plus exactement, un vampire. Une créature des Ténèbres qui la mena comme un pantin pendant cinq longues années. Que voulait-il ? Daphné l’apprit bien plus tard. Certes en faire sa femme avait été son premier but, mais le vampire voulait assurer sa descendance, son nom. Appleby. Candice fut marié à ce vampire qu’elle pensait humain, presque contre son gré. Et pour qu’un enfant vampire naisse, les deux parents doivent être vampires, c’est pourquoi il la transforma à son égale, contre la volonté de la jeune ApplebyCréature de la nuit et Sorcière, un mélange assez douteux, mais qui annonçait de grands pouvoirs pour l’enfant… Une fois soumise plus rien ne lui était possible, le meurtre était interdit sous peine de mort. Et sa vie était la seule chose qui lui restait. Un enfant naquit de l’union des deux vampires… De Candice et Stephen… Armand.

Une fois ceci accomplit, elle déserta, laissant l’enfant à son père… Laissant son ancienne vie derrière elle. Tout quitter pour recommencer. Blackalister était redevenue Appleby.
Une créature… Ce mot n’était plus que sa seule obsession… Mais attenter a sa vie aurait été une preuve de lâcheté, Candice n’avait plus qu’un seule choix, devenir enseignante et prouver aux Sorciers que les créatures ne sont pas des êtres détestables et méprisables…

IV. Etudes

V. Hors Jeu

Code:: magic

Parfait , Prof' ^^